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Suivi post-hospitalisation

L’OUTIL FONCTIONNE DANS LES DEUX SENS

Jusqu’ici, nous vous avons décrit SafeLink sous l’angle « surveillance à domicile, et cap sur les urgences en cas de dégradation ». Mais l’outil fonctionne aussi dans le sens « traitement à l’hôpital, puis retour à la maison ». La transition sera d’autant plus fluide que le médecin traitant aura un compte SafeLink. Explications.




Tous les matins, le centre de crise interfédéral égrène les chiffres des dernières 24 heures : cas confirmés, hospitalisations, décès… Depuis quelques jours, les sorties de l’hôpital l’emportent sur les admissions. Mercredi 22 avril, on avait enregistré 432 sorties contre 263 entrées. Restent néanmoins quelque 4.700 patients hospitalisés, dont la plupart pourront rentrer chez eux après un séjour d’une semaine en hospitalisation classique et de trois semaines s’ils doivent passer par les soins intensifs.

Soit des milliers de patients tirés d’affaire mais néanmoins fragilisés, qu’il faudra tenir à l’œil jusqu’à rétablissement complet. Un rôle tout trouvé, évidemment, pour les médecins traitants. On peut conseiller aux généralistes qui n’ont pas encore de compte sur SafeLink d’en ouvrir un, pour que les hôpitaux qui ont adopté l’outil et qui jugent un patient apte à sortir, puissent l’ « attribuer » à un médecin de famille qui prend le relais. En d’autres termes, un généraliste peut, grâce à SafeLink, monitorer un patient AVANT qu’une hospitalisation s’impose, mais également commencer à suivre un patient APRES, pour sa convalescence.

Un conseil en guise de conclusion : comme généraliste, vous pouvez très bien vous inscrire sur SafeLink « par avance », sans encore avoir de patient à monitorer activement. La présence de votre nom dans la DB de SafeLink permettra et facilitera le passage de témoin dans le sens 2ème ligne –> 1ère ligne.


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